Fiche de Lorenzo Aventino
Aventino LorenzoLe prince artiste
En bref
Messages : 12Date d'inscription : 19/11/2020
Fiche de Lorenzo Aventino
Jeu 19 Nov - 14:45Lorenzo Aventino"Les détails font la perfection, et la perfection n'est pas un détail." - Leonard de Vinci
Fiche identitaireRace : Altrois Faction : Coalition Age Réel : 35 Classe sociale : Noblesse Métier ou occupation : Grand maître électeur Guilde : Ordre de la haute connaissance Résidence principale : Cité de Ivry, capitale du duché électoral du même nom Titre : Le prince artiste
Inventaire
- Une mandoline en bois précieux qu’il apprécie emporter avec lui quand il voyage. Celle-ci est ornementé de motifs stylisés directement cisaillés dans le bois et possède une sonorité particulièrement douce.
- Une rapière ornementée, utilisable mais surtout là pour l’apparat. La garde est incrustée de pierre précieuses et la lame porte de belles arabesques élégantes.
- Un ensemble de vêtements précieux et de grand prix que le grand maître électeur porte en toute occasion. Il en dispose de toute une garde robe et pour des occasions diverses.
- Des bijoux et anneaux incrustés de gemmes, là aussi le grand maître électeur dispose de toute une panoplie de ces derniers, qu’il porte selon les occasions.
- Une rapière ornementée, utilisable mais surtout là pour l’apparat. La garde est incrustée de pierre précieuses et la lame porte de belles arabesques élégantes.
- Un ensemble de vêtements précieux et de grand prix que le grand maître électeur porte en toute occasion. Il en dispose de toute une garde robe et pour des occasions diverses.
- Des bijoux et anneaux incrustés de gemmes, là aussi le grand maître électeur dispose de toute une panoplie de ces derniers, qu’il porte selon les occasions.
PhysiquePartie très courte, avec une possibilité de développer sur les singularités s’il y en a
Age apparent : Le grand maître électeur a le trentaine bien conservée d’apparence, en soit aussi bien les hommes que les femmes lui trouveront même l’air plus jeune que son véritable âge. Couleur de peau : La peau du grand maître électeur est d’un beige clair guère étonnant au vu de son ethnie, mais surtout dénué de tout bronzage, ce qui souligne qu’il est bien le genre d’homme qui ne passe pas de longue heure à trimer dans les champs. Couleur d'yeux : Les yeux de teinte olive du prince artiste ne sont pas d’une teinte vraiment anormale, mais vont plutôt bien en général avec son apparence et il essaye souvent de les mettre en valeur quand il se vêtit ou se drape de bijoux divers. Couleur de cheveux : Notre noble sieur a des cheveux d’une couleur noire assez commune, mais élégamment coiffés en tout temps. Taille : Le prince arbore un assez commun mètre soixante dix qui ne le complexe pas le moins du monde. Musculature : Des muscles fins et élégants, mais pas très développés, voilà la musculature du grand maître électeur. S’il fait des exercices physiques, c’est sans doute ceux pour entretenir sa forme qui ont sa préférence et pas ceux nécessaires pour être un véritable guerrier. Accent : Notre homme a l’accent d’Aelhand, mais celui utilisé par les nobles. Singularités : Souvent, on lui demande d’où viennent les cicatrices qu’ils arbore, notamment sur son visage, cicatrices qui sans l’enlaidir, lui donne un certain charme aux yeux de certains. Il est assez mystérieux à ce sujet, ce qui fait que ses sujets et connaissances entretiennent diverses théories à ce sujet.
Psychologie
Ecriture complète
Ecriture complète
Sans conteste le « prince » est un homme facilement considéré comme bon vivant, de bonne compagnie et de bon caractère par ceux le fréquentant en général. Il y a sans doute à la fois une part de vérité là dedans, c’est un homme appréciant la vie mondaine, la bonne compagnie, les discussions intéressantes et tout à fait patient et sachant se tenir en société. Mais il y aussi, très probablement, une bonne partie d’intérêt et intentions là dedans, car il est capable de se comporter ainsi avec quasiment n’importe qui, même ceux avec qui il n’aurait aucune raison de se comporter ainsi.
Car le grand maître électeur est aussi un homme tout à fait capable de mentir, d’être hypocrite et qui l’est assez fréquemment d’ailleurs. S’il ne vous aime pas, il ne le fera pas savoir et il n’agira pas forcément contre vous non plus. Car c’est aussi un politicien pragmatique, ayant des buts et des convictions certes, mais persuadé que pouvoir accomplir tout cela, il est d’abord nécessaire de réussir en politique.
Et en intrigue, ce n’est ni le dernier pour espionner, ni pour comploter, ni pour agir en sous main à l’encontre de ses ennemis. D’une certaine manière il considère même cela comme préférable à la voie martiale et de bon goût quand la diplomatie simple ne suffit pas. Car s’il peut, il préfère marchander, discutailler et convaincre, puis ensuite si jamais les simples mots ont suffit. Faire confiance certes, mais en se rassurant par la mise en place de moyens de surveiller ses « partenaires » et alliés potentiels, s’il le peut.
Pour en finir avec ses défauts, précisions que l’homme est assez imbu de lui-même, voir très même s’il n’est pas du genre à s’en vanter, ou à se vexer si on tenter d’effaroucher son égo. Ultimement, tous ses projets et buts visent à son intérêt propre et beaucoup de ce qu’il fait est un calcul politique et intéressé. Ensuite, il est du genre précieux et peu manuels, peu capables de travaux physiques, et qui fera tout pour éviter de se salir les bottes dans la boue par exemple. C’est vraiment un homme d’intérieur et de luxe qui ne souffre que peu des aspects dégradants de ce monde.
Et pour en finir avec ses qualités. C’est un homme éduqué et sophistiqué, véritablement, un amoureux des arts de toutes sortes, un diplomate convaincu préférant toujours la paix au conflit. Puis, c’est un homme véritablement soucieux du bien être de ceux sous sa charge, il se considère comme un père pour ses sujets et ultimement c’est aussi un homme sachant être un vrai ami.
Après le problème est qu’il se comporte pareillement avec ses vrais amis, qu’avec ceux qu’il n’aime pas, mais tel est le problème quand on joue en permanence un jeu de dupe comme lui. Néanmoins, il a de vrais amis et au fond plutôt bienveillant en général, juste qu’il manie davantage l’intrigue en politique, que les arts de la guerre.
Ses projets actuels ? Parfaite la prospérité de sa personne et son domaine par une politique de mécénat forte et engagée. Continuer à être philanthrope pour s’assurer le soutien de ses sujets, aider à la reconstruction du royaume pour ne plus dépendre de leurs alliés, mais aussi ouvrir et exploiter de nouvelles opportunités commerciales diverses avec l’étranger.
Et s’il le peut évidemment, devenir à terme l’image même aux yeux de tous du dirigeant sage, moderne, juste et raffiné, pour ainsi se voir doté par son image et réputation d’une forme d’immortalité à laquelle seuls les plus grands philosophes et artistes peuvent aspirer.
Pour conclure, citons un fait peu connu, voir connu de seulement lui, le prince est un adepte du culte du dieu unique qu’il considère comme une religion plutôt saine car le dieu vénéré est distant est laisse donc une certaine liberté à ses adeptes. En vérité, officiellement il fait preuve d’une grande tolérance religieuse même s’il souscrits d’abord aux cultes traditionnels d’Aelhand. En cette époque où les gens commencent à se tourner vers d’autres foi, notre homme s’est dit que l’ouverture serait peut-être la meilleure solution pour éviter des troubles excessifs.
Car le grand maître électeur est aussi un homme tout à fait capable de mentir, d’être hypocrite et qui l’est assez fréquemment d’ailleurs. S’il ne vous aime pas, il ne le fera pas savoir et il n’agira pas forcément contre vous non plus. Car c’est aussi un politicien pragmatique, ayant des buts et des convictions certes, mais persuadé que pouvoir accomplir tout cela, il est d’abord nécessaire de réussir en politique.
Et en intrigue, ce n’est ni le dernier pour espionner, ni pour comploter, ni pour agir en sous main à l’encontre de ses ennemis. D’une certaine manière il considère même cela comme préférable à la voie martiale et de bon goût quand la diplomatie simple ne suffit pas. Car s’il peut, il préfère marchander, discutailler et convaincre, puis ensuite si jamais les simples mots ont suffit. Faire confiance certes, mais en se rassurant par la mise en place de moyens de surveiller ses « partenaires » et alliés potentiels, s’il le peut.
Pour en finir avec ses défauts, précisions que l’homme est assez imbu de lui-même, voir très même s’il n’est pas du genre à s’en vanter, ou à se vexer si on tenter d’effaroucher son égo. Ultimement, tous ses projets et buts visent à son intérêt propre et beaucoup de ce qu’il fait est un calcul politique et intéressé. Ensuite, il est du genre précieux et peu manuels, peu capables de travaux physiques, et qui fera tout pour éviter de se salir les bottes dans la boue par exemple. C’est vraiment un homme d’intérieur et de luxe qui ne souffre que peu des aspects dégradants de ce monde.
Et pour en finir avec ses qualités. C’est un homme éduqué et sophistiqué, véritablement, un amoureux des arts de toutes sortes, un diplomate convaincu préférant toujours la paix au conflit. Puis, c’est un homme véritablement soucieux du bien être de ceux sous sa charge, il se considère comme un père pour ses sujets et ultimement c’est aussi un homme sachant être un vrai ami.
Après le problème est qu’il se comporte pareillement avec ses vrais amis, qu’avec ceux qu’il n’aime pas, mais tel est le problème quand on joue en permanence un jeu de dupe comme lui. Néanmoins, il a de vrais amis et au fond plutôt bienveillant en général, juste qu’il manie davantage l’intrigue en politique, que les arts de la guerre.
Ses projets actuels ? Parfaite la prospérité de sa personne et son domaine par une politique de mécénat forte et engagée. Continuer à être philanthrope pour s’assurer le soutien de ses sujets, aider à la reconstruction du royaume pour ne plus dépendre de leurs alliés, mais aussi ouvrir et exploiter de nouvelles opportunités commerciales diverses avec l’étranger.
Et s’il le peut évidemment, devenir à terme l’image même aux yeux de tous du dirigeant sage, moderne, juste et raffiné, pour ainsi se voir doté par son image et réputation d’une forme d’immortalité à laquelle seuls les plus grands philosophes et artistes peuvent aspirer.
Pour conclure, citons un fait peu connu, voir connu de seulement lui, le prince est un adepte du culte du dieu unique qu’il considère comme une religion plutôt saine car le dieu vénéré est distant est laisse donc une certaine liberté à ses adeptes. En vérité, officiellement il fait preuve d’une grande tolérance religieuse même s’il souscrits d’abord aux cultes traditionnels d’Aelhand. En cette époque où les gens commencent à se tourner vers d’autres foi, notre homme s’est dit que l’ouverture serait peut-être la meilleure solution pour éviter des troubles excessifs.
Histoire
Je suis fils de grand électeur, un homme bon mais que beaucoup considéraient comme le genre intriguant et plutôt vicieux. Un homme apprécié de son peuple et qui avait su attirer la confiance de ses subordonnés, mais avait moins celle de ses confrères électeurs et surtout qui préférait, comme moi aujourd’hui, l’art oratoire et du complot, à celui des épées et de la guerre.
Fils unique, je fus aussi rapidement doté de mon seul père comme famille proche, car ma mère perdit la vie en me la donnant. Ce n’est pas qu’elle n’eut pas de bons soins, mais elle était de constitution fragile, peut-être n’aurait-elle pas dû enfanter… Cela m’attriste encore aujourd’hui, mais heureusement mon père ne m’a jamais tenu responsable pour cela, pourtant il l’aimait, pourtant cela l’attrista.
Il compensa peut-être en pourvoyant du mieux qu’il le pouvait à mon éducation, que ce soit en se donnant les moyens de me consacrer du temps ou en m’offrant les meilleurs précepteurs possibles.
Il y eut certes un peu de formation martiale dans mon éducation, mais très vite elle tourna autour de l’art de gouverner, de l’érudition, des arts et de la bienséance. Très vite je fis bonne impression à mes professeurs d’ailleurs qui n’étaient pas forcément habitués à ce qu’un enfant si jeune soit déjà autant à l’écouter ou intéresser. Combien d’heures ais je passé, déjà tout jeune, à peindre, jouer de la musique ? Lire les classiques, apprendre les théories scientifiques récentes ou ce qu’il faut savoir pour succéder un jour à mon père ?
Beaucoup, car mon père avait réellement l’idéal du gouvernant formé au mieux pour assurer sa tâche et dont l’avis était certes luxueuse, mais de dévouement et implication. Je ne pouvais pas être parfait, mais je devais être le meilleur possible, une sorte de roi philosophe éclairé, mais un rang en dessous de la royauté.
Je fréquenta aussi la cour très tôt, que ce soit les gens de mon âge, notamment les jeunes femmes avec lesquelles je fus rapidement populaire. Ou ceux plus âgés qui avaient l’impression d’avoir affaire à une version plus jeune de mon honorable paternel. Si j’étais encore jeune pour les intrigues évidemment, dès mes six ans je crois, mon père décida de m’enseigner personnellement l’art du complot, de l’espionnage et des subterfuges divers. Disait-il qu’il valait mieux un souverain gouvernant par ruse, qu’une brute réglant tous ses problèmes sur le champ de bataille.
Je commença aussi à voyager dès mes 8 ans, en compagnie de mon père, chez nos alliés. Autant pour des raisons diplomatiques, que de liens commerciaux ou me faire quelques relations. Le but étant à terme que j’y revienne plus tard et en tire certains avantages. Les Eijis, les Senaïs, les autres nations Altrois… Je parcourus réellement l’ensemble de la coalition.
Et je fis bonne impression aux nobles Eijis, ma capacité à honorer leur étiquette, mon intérêt pour leur culture et les quelques mots qu’un de mes précepteurs m’avait appris de leur langue, avait sans doute aidés. Pour les Senaïs, mon père joua sur les liens d’amitié qu’il avait déjà avec ce peuple et que je repris volontiers à mon compte, des liens surtout commerciaux, mais aussi de longue confiance.
Ces voyages furent nombreux au cours de mon enfance et adolescence à bien y regarder, ainsi que mon éducation pour devenir le meilleur gouvernant possible, intense. Puis, mon père vers mes 15 ans décida que j’étais fais prêts à prendre quelques responsabilités.
Il n’avait jamais eu besoin d’un maître espion, car il s’en chargeait lui-même, mais il me confia cette tâche pour pouvoir au passage me parrainer. Je fus alors en relation avec un réseau d’espionnage assez étendu. Surtout situé en Aelhand, mais ayant aussi des membres chez chacun des alliés, ainsi qu’ailleurs. J’avais surtout pour tâche au début de faire en sorte que les informations viennent à mon père et de transmettre ses ordres par la suite, puis ensuite j’eus davantage d’autonomie...
Ce fut d’ailleurs vers mes 16 ans qu’en parallèle j’intégrai l’ordre de la haute connaissance duquel mon père faisait déjà partie et qui considérait qu’il était normal que je suive ses traces à ce niveau. L’idée d’un ordre ayant une si noble mission, me ravit profondément, et leur attitude assez neutre politiquement n’était pas pour me déplaire.
Je fus un initié plutôt appliqué au fil des années, déjà érudit grâce à mon éducation, je ne fus ni le dernier pour m’instruire ou pour débattre de divers sujets. Dans les faits je m’intégrais parfaitement étant donné que mes valeurs étaient celles de l’organisation en quelque sorte, cela me permit notamment au bout de plusieurs années de ne plus êtres un simple novice.
Puis ce fut peu avant que les morts vivants arrivent et ne dévastent le royaume, que mon père avait décidé d’abdiquer en ma faveur. Il n’était pas spécialement vieux, mais il était malade et lasse. Je ne sais pas de quelle maladie exactement, une de celles qui tuent lentement et affaiblit le corps sans qu’on ne puisse plus rien y faire.
J’étais décidé à honorer son héritage, profiter de ses conseils qu’il m’offrait et le surpasser même, puis les nécromanciens nous déclarèrent la guerre...
Une guerre lourde en conséquences car il fallut mobiliser les troupes, protéger la population et prendre d’autres mesures car je n’était pas moi-même un stratège, ni mon père… Mais je fis de mon mieux et je connaissais déjà des mercenaires compétents qui feraient l’affaire.
Et c’est au cours de cette guerre d’ailleurs que mon père s’éteindra, inquiet pour l’avenir de notre domaine et du royaume, même si j’espère l’avoir tout de même rassuré en faisant de mon mieux...
En vérité, je ne vis pas grand-chose de cette guerre moi-même dans les faits, j’engageai surtout des mercenaires, des officiers de confiance que je surveillais et je veillais à la logistique. Ainsi qu’à quelques façons de saboter ou ralentir les efforts ennemis. Il y eut bien des combats et des sièges par chez moi, mais je n’en vis donc aucun, même si pour autant je ne me contenta pas de rester passif.
De plus je continuais à gérer les affaires civiles en sous main, j’importais de quoi nourrir la population, je surveillais les possibles complots, je m’informais sur le reste du monde, je pensai autant au maintenant, qu’à l’après du pays en somme. Car à mes yeux il fallait déjà y penser, car certes il n’y aurait peut-être pas d’après, mais s’il y en avait un, il faudrait survivre aux conséquences de cette guerre.
Mon domaine fut au final durement touché par tout cela comme le reste du royaume, mais la paix finit bien par arriver et il était temps de reconstruire. Il fallait nourrir la population, ce que mes liens commerciaux et diplomatiques multiples pourraient aider à faire, mais aussi relancer le développement économique du pays… Ce à quoi j’intrigue et œuvre aussi.
Mais j’avais aussi à cœur de relancer pleinement notre développement culturel. Car c’est notre culture et notre prestige aussi, qui témoignent de la grandeur de notre civilisation.
La paix revenant, je décida donc d’être un dirigeant juste et éclairé. Égalant mon prédécesseur, voir le surpassant si possible. Relançant évidemment pour cela une riche politique de mécénat et philanthropie. Car si la gloire militaire ne dure qu’un temps, celle de la culture et des réalisations de la civilisation est éternelle.
Après tout, le monde est vaste, riche en opportunités. Parrainer des érudits et artistes venant de l’étranger pour qu’ils viennent chez moi, me faire représenter dans diverses œuvres d’arts comme un homme sage, juste et paternel et maintenir mes bonnes relations avec le voisinage, voilà quelques unes de mes méthodes. De plus, mes bonnes relations avec des contrées des fois lointaines me permettent de trouver des artistes et érudits aussi bien Altrois, que Senaïs et Eijis, pour les inviter en mes terres. Il est à ajouter aussi que depuis quelques années et au cours de mes voyages en Eijis j'appris chez eux l'art de monter des créatures aquatiques fascinantes, en plus de leur culture et manière de faire, comme chez les Senaïs. Je trouve que c'est là un art noble, que je pratique plus dans une optique de loisir et prestige, que possiblement guerrière. Qui sait ? Ce serait une idée sans doute de me faire peindre sur le dos d'une grâcieuse et puissante créature des mers.
Voilà donc plusieurs des priorités qui furent miennes, et qui donnèrent des résultats au cours des années qui suivirent même s’il y a encore beaucoup à faire.
D’ailleurs, il m’arrive souvent de demander conseil ou avis à des membres de l’ordre de la haute connaissance, démontrant ainsi mon estime pour eux. Et de faire des dons à leur cause, en ma qualité personnelle. Après tout, quand j’aurais disparu comme tout homme, restera la connaissance que j’aurais aidé à bâtir, une partie comme une autre partie de moi qui survivra à l’éternité…
Ainsi, j’aspire actuellement à entretenir le rayonnement culturel que je génère par ma politique de mécénat notamment et la façon dont je gère mon duché. Ce tout en aidant à reconstruire Aelhand. Et si évidemment je suis fidèle au royaume, plus qu’au roi certes, je mène donc de mon côté une politique assez autonome tout en restant loyal.
Fils unique, je fus aussi rapidement doté de mon seul père comme famille proche, car ma mère perdit la vie en me la donnant. Ce n’est pas qu’elle n’eut pas de bons soins, mais elle était de constitution fragile, peut-être n’aurait-elle pas dû enfanter… Cela m’attriste encore aujourd’hui, mais heureusement mon père ne m’a jamais tenu responsable pour cela, pourtant il l’aimait, pourtant cela l’attrista.
Il compensa peut-être en pourvoyant du mieux qu’il le pouvait à mon éducation, que ce soit en se donnant les moyens de me consacrer du temps ou en m’offrant les meilleurs précepteurs possibles.
Il y eut certes un peu de formation martiale dans mon éducation, mais très vite elle tourna autour de l’art de gouverner, de l’érudition, des arts et de la bienséance. Très vite je fis bonne impression à mes professeurs d’ailleurs qui n’étaient pas forcément habitués à ce qu’un enfant si jeune soit déjà autant à l’écouter ou intéresser. Combien d’heures ais je passé, déjà tout jeune, à peindre, jouer de la musique ? Lire les classiques, apprendre les théories scientifiques récentes ou ce qu’il faut savoir pour succéder un jour à mon père ?
Beaucoup, car mon père avait réellement l’idéal du gouvernant formé au mieux pour assurer sa tâche et dont l’avis était certes luxueuse, mais de dévouement et implication. Je ne pouvais pas être parfait, mais je devais être le meilleur possible, une sorte de roi philosophe éclairé, mais un rang en dessous de la royauté.
Je fréquenta aussi la cour très tôt, que ce soit les gens de mon âge, notamment les jeunes femmes avec lesquelles je fus rapidement populaire. Ou ceux plus âgés qui avaient l’impression d’avoir affaire à une version plus jeune de mon honorable paternel. Si j’étais encore jeune pour les intrigues évidemment, dès mes six ans je crois, mon père décida de m’enseigner personnellement l’art du complot, de l’espionnage et des subterfuges divers. Disait-il qu’il valait mieux un souverain gouvernant par ruse, qu’une brute réglant tous ses problèmes sur le champ de bataille.
Je commença aussi à voyager dès mes 8 ans, en compagnie de mon père, chez nos alliés. Autant pour des raisons diplomatiques, que de liens commerciaux ou me faire quelques relations. Le but étant à terme que j’y revienne plus tard et en tire certains avantages. Les Eijis, les Senaïs, les autres nations Altrois… Je parcourus réellement l’ensemble de la coalition.
Et je fis bonne impression aux nobles Eijis, ma capacité à honorer leur étiquette, mon intérêt pour leur culture et les quelques mots qu’un de mes précepteurs m’avait appris de leur langue, avait sans doute aidés. Pour les Senaïs, mon père joua sur les liens d’amitié qu’il avait déjà avec ce peuple et que je repris volontiers à mon compte, des liens surtout commerciaux, mais aussi de longue confiance.
Ces voyages furent nombreux au cours de mon enfance et adolescence à bien y regarder, ainsi que mon éducation pour devenir le meilleur gouvernant possible, intense. Puis, mon père vers mes 15 ans décida que j’étais fais prêts à prendre quelques responsabilités.
Il n’avait jamais eu besoin d’un maître espion, car il s’en chargeait lui-même, mais il me confia cette tâche pour pouvoir au passage me parrainer. Je fus alors en relation avec un réseau d’espionnage assez étendu. Surtout situé en Aelhand, mais ayant aussi des membres chez chacun des alliés, ainsi qu’ailleurs. J’avais surtout pour tâche au début de faire en sorte que les informations viennent à mon père et de transmettre ses ordres par la suite, puis ensuite j’eus davantage d’autonomie...
Ce fut d’ailleurs vers mes 16 ans qu’en parallèle j’intégrai l’ordre de la haute connaissance duquel mon père faisait déjà partie et qui considérait qu’il était normal que je suive ses traces à ce niveau. L’idée d’un ordre ayant une si noble mission, me ravit profondément, et leur attitude assez neutre politiquement n’était pas pour me déplaire.
Je fus un initié plutôt appliqué au fil des années, déjà érudit grâce à mon éducation, je ne fus ni le dernier pour m’instruire ou pour débattre de divers sujets. Dans les faits je m’intégrais parfaitement étant donné que mes valeurs étaient celles de l’organisation en quelque sorte, cela me permit notamment au bout de plusieurs années de ne plus êtres un simple novice.
Puis ce fut peu avant que les morts vivants arrivent et ne dévastent le royaume, que mon père avait décidé d’abdiquer en ma faveur. Il n’était pas spécialement vieux, mais il était malade et lasse. Je ne sais pas de quelle maladie exactement, une de celles qui tuent lentement et affaiblit le corps sans qu’on ne puisse plus rien y faire.
J’étais décidé à honorer son héritage, profiter de ses conseils qu’il m’offrait et le surpasser même, puis les nécromanciens nous déclarèrent la guerre...
Une guerre lourde en conséquences car il fallut mobiliser les troupes, protéger la population et prendre d’autres mesures car je n’était pas moi-même un stratège, ni mon père… Mais je fis de mon mieux et je connaissais déjà des mercenaires compétents qui feraient l’affaire.
Et c’est au cours de cette guerre d’ailleurs que mon père s’éteindra, inquiet pour l’avenir de notre domaine et du royaume, même si j’espère l’avoir tout de même rassuré en faisant de mon mieux...
En vérité, je ne vis pas grand-chose de cette guerre moi-même dans les faits, j’engageai surtout des mercenaires, des officiers de confiance que je surveillais et je veillais à la logistique. Ainsi qu’à quelques façons de saboter ou ralentir les efforts ennemis. Il y eut bien des combats et des sièges par chez moi, mais je n’en vis donc aucun, même si pour autant je ne me contenta pas de rester passif.
De plus je continuais à gérer les affaires civiles en sous main, j’importais de quoi nourrir la population, je surveillais les possibles complots, je m’informais sur le reste du monde, je pensai autant au maintenant, qu’à l’après du pays en somme. Car à mes yeux il fallait déjà y penser, car certes il n’y aurait peut-être pas d’après, mais s’il y en avait un, il faudrait survivre aux conséquences de cette guerre.
Mon domaine fut au final durement touché par tout cela comme le reste du royaume, mais la paix finit bien par arriver et il était temps de reconstruire. Il fallait nourrir la population, ce que mes liens commerciaux et diplomatiques multiples pourraient aider à faire, mais aussi relancer le développement économique du pays… Ce à quoi j’intrigue et œuvre aussi.
Mais j’avais aussi à cœur de relancer pleinement notre développement culturel. Car c’est notre culture et notre prestige aussi, qui témoignent de la grandeur de notre civilisation.
La paix revenant, je décida donc d’être un dirigeant juste et éclairé. Égalant mon prédécesseur, voir le surpassant si possible. Relançant évidemment pour cela une riche politique de mécénat et philanthropie. Car si la gloire militaire ne dure qu’un temps, celle de la culture et des réalisations de la civilisation est éternelle.
Après tout, le monde est vaste, riche en opportunités. Parrainer des érudits et artistes venant de l’étranger pour qu’ils viennent chez moi, me faire représenter dans diverses œuvres d’arts comme un homme sage, juste et paternel et maintenir mes bonnes relations avec le voisinage, voilà quelques unes de mes méthodes. De plus, mes bonnes relations avec des contrées des fois lointaines me permettent de trouver des artistes et érudits aussi bien Altrois, que Senaïs et Eijis, pour les inviter en mes terres. Il est à ajouter aussi que depuis quelques années et au cours de mes voyages en Eijis j'appris chez eux l'art de monter des créatures aquatiques fascinantes, en plus de leur culture et manière de faire, comme chez les Senaïs. Je trouve que c'est là un art noble, que je pratique plus dans une optique de loisir et prestige, que possiblement guerrière. Qui sait ? Ce serait une idée sans doute de me faire peindre sur le dos d'une grâcieuse et puissante créature des mers.
Voilà donc plusieurs des priorités qui furent miennes, et qui donnèrent des résultats au cours des années qui suivirent même s’il y a encore beaucoup à faire.
D’ailleurs, il m’arrive souvent de demander conseil ou avis à des membres de l’ordre de la haute connaissance, démontrant ainsi mon estime pour eux. Et de faire des dons à leur cause, en ma qualité personnelle. Après tout, quand j’aurais disparu comme tout homme, restera la connaissance que j’aurais aidé à bâtir, une partie comme une autre partie de moi qui survivra à l’éternité…
Ainsi, j’aspire actuellement à entretenir le rayonnement culturel que je génère par ma politique de mécénat notamment et la façon dont je gère mon duché. Ce tout en aidant à reconstruire Aelhand. Et si évidemment je suis fidèle au royaume, plus qu’au roi certes, je mène donc de mon côté une politique assez autonome tout en restant loyal.
CapacitésForce : Novice Agilité : Initié Dextérité :Amateur Constitution :Initié Symbiose : Novice Sens : Expert Volonté : Expert Intelligence / Education : Initié
CompétencesCompétences développées :
Militaire :
-Maniement d’une arme : Novice – Épée
-Espionnage : Expert
-Stratégie militaire : Novice
-Monte aquatique : Amateur
Survie :
-Déguisement : Professionel
-Discrétion : Amateur
Sociale :
-Langues : (Senaïs) : Amateur / (Eijis) : Amateur / (Altrois) : Expert
-Diplomatie : Amateur
-Eloquence / Art Oratoire : Professionel
-Charme : Professionel
-Politique : Expert
-Histoire et Culture (Aelhand) : Expert / (Serrès) : Amateur / (Valstard) : Amateur / (Eijis) : Amateur / (Senaïs) : Amateur
-Art (Musique) : Amateur / (Peinture) : Professionel / (Danse) : Amateur / (Sculpture) : Initié / Chant (Amateur) / (Art de la scène) : Amateur
-Étiquette : Expert (Aelhand) / Professionnel (Eijis) / Amateur (Senaïs) / Amateur (Serrès) / Amateur (Valstad
-Marchandage : Expert
Scientifique :
-Lettres (Lire et Écrire) : Expert
-Cartographie / Géographie : Initié
-Étude des phénomènes naturels Initié
-Navigation : Novice
-Expertise des poisons : Initié
Crédit :
- Crédit (Valstard) : Amateur / (Serrès) : Amateur / (Aelhand) : Professionel / (Royaumes Eijis) : Initié / (Nomades Senaïs) : Novice
Militaire :
-Maniement d’une arme : Novice – Épée
-Espionnage : Expert
-Stratégie militaire : Novice
-Monte aquatique : Amateur
Survie :
-Déguisement : Professionel
-Discrétion : Amateur
Sociale :
-Langues : (Senaïs) : Amateur / (Eijis) : Amateur / (Altrois) : Expert
-Diplomatie : Amateur
-Eloquence / Art Oratoire : Professionel
-Charme : Professionel
-Politique : Expert
-Histoire et Culture (Aelhand) : Expert / (Serrès) : Amateur / (Valstard) : Amateur / (Eijis) : Amateur / (Senaïs) : Amateur
-Art (Musique) : Amateur / (Peinture) : Professionel / (Danse) : Amateur / (Sculpture) : Initié / Chant (Amateur) / (Art de la scène) : Amateur
-Étiquette : Expert (Aelhand) / Professionnel (Eijis) / Amateur (Senaïs) / Amateur (Serrès) / Amateur (Valstad
-Marchandage : Expert
Scientifique :
-Lettres (Lire et Écrire) : Expert
-Cartographie / Géographie : Initié
-Étude des phénomènes naturels Initié
-Navigation : Novice
-Expertise des poisons : Initié
Crédit :
- Crédit (Valstard) : Amateur / (Serrès) : Amateur / (Aelhand) : Professionel / (Royaumes Eijis) : Initié / (Nomades Senaïs) : Novice
Relations
Son père : Mort, celui-ci était son guide et modèle, Lorenzo pense que ce dernier serait fier de lui à l'heure actuelle, même s'il lui reprocherait aussi de ne pas encore avoir fait de descendance.
Ses frères de l'ordre : Ses égaux en quelque sorte, du moins en érudition et sagesse. Il respecte ceux-ci et espère continuer à briller et monter au sein de l'ordre, autant par estime pour celui-ci, que parfaire son image.
Ses frères de l'ordre : Ses égaux en quelque sorte, du moins en érudition et sagesse. Il respecte ceux-ci et espère continuer à briller et monter au sein de l'ordre, autant par estime pour celui-ci, que parfaire son image.
Le joueurPseudo : Tarkas Âge : 22 ans Comment avez vous connu le forum ? Une des fonda m'en a parlée Avez vous signé le règlement ? Oui Un commantaire ? Cookie ?
Main du DestinCompte fondateur
En bref
Messages : 222Date d'inscription : 27/06/2020
Re: Fiche de Lorenzo Aventino
Sam 21 Nov - 15:51Coucou Lorenzo ! Tu as reçu le MP pour ta correction de fiche =)
Main du DestinCompte fondateur
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Messages : 222Date d'inscription : 27/06/2020
Re: Fiche de Lorenzo Aventino
Dim 22 Nov - 4:45Suite à tes petites éditions, tu es désormais validé ! Félicitation Bien hâte de te voir jouer ce personnage haut en couleurs !
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