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Fiche de Syllxeraen

SyllxeraenAspect Stellaire
Syllxeraen

En bref

Messages : 24
Date d'inscription : 11/10/2020

Fiche de Syllxeraen  Empty Fiche de Syllxeraen

Lun 12 Oct - 9:46
Syllxeraen La connaissance est dans l'action
Fiche identitaire
  • Race : Dragon Stellaire
  • Faction : Eah Creaturae
  • Age Réel : 8 000 ans
  • Classe sociale : Aucune
  • Métier ou occupation : Aspect Stellaire
  • Guilde : Ordre de la Haute Connaissance
  • Résidence principale : Féroé - Bibliothèque engloutie
  • Titre : Aspect du Savoir - Dragon Boréal
  • Inventaire
    Contenu de ses poches
    - Plusieurs carnets reliés de cuir aux pages cornées et noircies de notes,
    - Des crayons de fusains, des plumes et son encrier, quelques pinceaux et plusieurs dés de pigments,
    - Une bourse pleine de pièces dont les monnaies sont issues des quatre coins de Teos et de diverses époques, on peut y trouver aussi des perles et quelques petits cailloux brillants ramassés sur d'anciens rivages,
    - Du matériel de mesure tel que des bouts de ficelles agrémentés de nœuds, des mètres de bois articulés ainsi qu'un sextant.

    Mémoire des Astres
    Fiche de Syllxeraen  Mzomoi10

    Un ouvrage à la couverture rigide faite de bois ancestral. Sur le dessus une fine et délicate mosaïque, faite de pièces imbriquées d'or jaune et rouge ainsi que de turquoises, forme un motif complexe qui se réorganise selon la volonté de son propriétaire. Au centre de l'épaisse couverture se trouve une bille de tanzanite au bleu profond et changeant, réel noyau de l'ouvre comme le serait un cœur de golem.
    Ce livre ne possède pas de contenu à proprement parlé, si vous l'ouvrez sans autre forme de procès vous n'y trouverez que des pages blanches, car en réalité il s'imprègne de la mémoire et peut ainsi reconstituer n'importe quel ouvrage que son possesseur aura lu au moins une fois au cour de son existence.
    Bien sûr, plus la mémoire est lointaine ou effacée et plus l'ouvrage mettra du temps à se compléter et demandera de l'énergie à son propriétaire, mais grâce à la puissante magie tissée depuis plusieurs branches de la Voie de la Pensée, les pages finiront toujours par se remplir.

    Coeur-de-pluie
    (guzheng)
    Nommé en l'honneur de la seule créature pour qui il voua un amour aussi profond que chaste, l'instrument fait principalement de palissandre lui sert pour les rares instants où son esprit, épuisé par ses constantes activités, s'envole sur les notes bruissantes du guzheng. Syllxeraen se plaît notament à composer des poèmes et à les accompagner de son instrument. Il aura notament créé la pièce "musique sur le mûrier de Jade" pour le poème "Sentiment de Printemps". Gravé sur le bois en un insert de bambou, une hirondelle s'envole vers des étoiles.

    PhysiquePartie très courte, avec une possibilité de développer sur les singularités s’il y en a.

  • Age apparent : Vénérable.
  • Couleur de peau : Il possède des écailles semblables à des éclats de cristaux blancs, parcourues d'une diffuse lueur moirée. Ces écailles réfléchissent la lumière du soleil en un subtil dégradé de couleurs qui sont non sans rappeler les lueurs boréales du Mont Oshu.
  • Couleur d'yeux : Blanc lacté, brûlant d'énergie tellurique.
  • Couleur de cheveux : Aucune.
  • Taille : 64 mètres de long du museau à la queue, pour 9 mètres au garrot.
  • Musculature : Dû à son archétype serpentiforme, on aurait du mal à distinguer sa musculature et pourtant elle est bien présente sous les écailles lustrées ; souple, mais noueuse.
  • Accent : Aucun.
  • Singularités : Ses métamorphoses ne varient pas beaucoup et il aura arrêté très tôt son choix sur une première apparence ; celle d'un Haut Alfe à la blancheur immaculée et aux yeux dorés. Plus tard, lorsqu'il travailla sous l'autorité de Shalassa, il adopta l'apparence d'un Eiji avec une peau pâle, de longs cheveux d'encre et des yeux d'un gris orageux.
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  • Psychologie
    Écriture complète

    Volubile : L'une des premières choses que l'on apprend sur Syllxeraen c'est qu'il aime parler. Sans forcément le faire pour entendre le son de sa propre voix, le dragon adore discuter, conter et tout simplement taper la discussion. Les mots lui apparaissent comme des bonbons, alors que la syntaxe, l'orthographe... ce sont des rouages dans une mécanique merveilleuse qu'est la langue parlée. Il est fasciné par les dialectes, les nuances et même les accents lui semblent comme des mélodies à savourer. Parler est l'apogée des races pensantes, elle donne la capacité d'échanger les idées, les pensées, c'est le meilleur moyen de perfectionner et d'enrichir toute sorte de connaissance. Toutefois, dans le cas de Syllxeraen, encore faut-il réussir à le supporter quand il se lance dans une grande diatribe. En l'absence d'interlocuteur ou de spectateurs, il n'est pas rare d'entendre le dragon se parler à lui-même.

    Sur-connexion neuronales : Contrairement à un trouble de l'attention mental qui résulte en une activité excessive physique, Syllxeraen possède une sur-activité mentale qui lui cause, en cas d'ennuis, une grande fatigue et l'enfonce dans un cercle vicieux de flemmardise et d'ennuis plus grand encore. Excessivement intelligent, le dragon a toujours besoin de s'occuper l'esprit : lire pour la énième fois un livre, en savourer un nouveau, écrire les siens, traduire des textes dans d'autres langues, restaurer des ouvrages abimés, etc. Les défis mentaux sont sa drogue ; la compréhension et l'assimilation de nouveautés, sa friandise. L'inactivité cérébrale est donc son pire ennemis et Syll aura tôt fais de se plonger dans l'art musical Eiji du guzheng pour soulager son esprit de toute morosité, pour occuper ses mains et s'offrir un moment de méditation et de détente propice à l'éclosion de nouveaux projets et recherches.

    De bonne volonté : Malgré les déceptions et échecs rencontrés au cour de sa longue vie, Syllxeraen a su garder un cœur généreux et il agit principalement par bonne volonté plutôt que par la recherche d'intérêts. Certes, ses actions possèdent toujours un fond de profit comme la connaissance qu'il pourrait en tirer ou l'attrait de la nouveauté, mais globalement le dragon stellaire est une créature de bonté et d'altruisme. Que ce soit son incessante candeur à propos des capricieux Eijis ou sa patience sans limite avec l'étriqué conservatisme des Hauts Alfes, les races qui peuplent Teos sont indéniablement l'un de ses points faibles. Il n'est ainsi guère difficile d'appeler ses faveurs, sa connaissance ou sa protection lorsque la situation l'exige. Plus d'une fois le dragon aura dépassé son propre confort et sécurité pour satisfaire la requête d'un mortel, n'en tirant pas toujours que de bonnes expériences et sans même sembler apprendre de ses erreurs.

    Nonchalant : Que ce soit par son choix de races d'observation, son isolement de presque trois milles ans dans la Bibliothèque ou encore la récente guerre contre les nécromanciens et la zombification de son mentor, mais Syllxeraen aura progressivement développé un caractère affable, tourné sur l'acceptation plutôt que le conflit et souvent confondu pour du je-m'en-foutisme. Loin d'ignorer les problèmes quand il y en a ou d'être d'une nature soumise, le dragon a simplement eut suffisamment de confrontations pour plusieurs vies et n'a pas l'envie d'en essuyer de nouveaux s'il y a moyen de l'éviter. Généralement calme et bonne patte, le dragon boréal aime une vie simple où il peut poursuivre ses recherches, sa musique et la découverte des nombreux secrets de Teos.

    Flemmard : Sur bien des aspects, Syllxeraen ne colle pas vraiment à l'image populaire des dragons ; il n'est pas cupide, pas possessif -ou ne l'est plus, du moins- ni n'est dévoré par une arrogance coutumière aux siens. Peut-être est-ce causé par son éducation entièrement faite par des humains dès sa sortie de la coquille, mais il n'y a qu'un trait associé à sa race sur laquelle il ne peut nier et c'est la fainéantise. Si le dragon boréal est du genre à se passionner rapidement pour quelque chose et de déployer des efforts considérables pour l'obtenir, une fois qu'il aura fait le tour du sujet il sera excessivement difficile de le convaincre de reproduire un exercice similaire à moins d'aborder un sujet suffisamment passionnant et diversifié pour qu'il ne paraisse pas redondant. De fait, Syll est facilement ennuyé et une fatigue pernisieuse le saisit régulièrement s'il n'est pas attentif. Trouver l'Aspect en train de procrastiner quelque part, oisif et sans la moindre motivation est donc une vision récurrente à ceux qui ont l'habitude de le côtoyer.

    Double face : Un sourire aux lèvres et des paroles légères, une invitation à boire du vin de riz et à contempler les étoiles ; voilà le masque qu'arbore l'Aspect du Savoir la majeure partie du temps. Aux yeux des novices il sembler affable, bavard et oisif ; il est aisé de le confondre pour quelqu'un qui ne prend rien au sérieux et qui évite ses responsabilités. Les insultes et les menaces glisseront sur lui, les situations tendues ou gênantes ne sembleront pas l'atteindre. Personne n'est réellement intime avec lui, car il aura toujours une parade pour repousser en douceur ceux essayant de l'apprivoiser. Sous ce vernis impénétrable se dissimule une créature rongée de remords, engluée dans la mélancolie et les regrets. Que ce soit par ses propres actes à Myrrh comme à Yanlei ou son impuissance face à la disparition de Yue puis de S'narnril, le dragon boréal ne met ce masque que pour dissimuler la profondeur des craquelures en son âme avec la peur sournoise, illogique, d'être rejetté et abandonné à la moindre preuve de faiblesse pour son entourage.
    Histoire

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    Commencement
    An 2 000 AE - An 9 000 AE

    Né en 2 000 Après l'Effondrement sur l'île de Myrrh, au milieu de l'Océan Ombreux et plus précisément dans la Bibliothèque, son œuf fut découvert entre deux étagères, servant de presse papier sur une pile de parchemins. Abandonné dans les étages poussiéreux du mystérieux bâtiment, ce fut la toute première génération de l'Ordre de la Connaissance qui le trouva et l'adopta. D'aucun ne su d'où venait cet œuf ni pourquoi il se trouvait là. Une fois éclot après s'être enfin senti entre des mains attentionnées, le jeune dragon lui-même fut incapable de donner la moindre réponse aux bipèdes et ce malgré sa conscience d'exister au sein de sa coquille, celle de rêver et de penser durant sa longue veille poussiéreuse. Toutefois, il avait dès sa sortie de l’œuf -et possède encore aujourd'hui- la certitude d'être intimement lié à la Bibliothèque. Pour cette raison, Syllxeraen ne quitta pas ses immenses enceintes tout au long de ses premiers siècles, retardant au maximum le moment où il lui faudrait sortir le bout de son museau et choisir un peuple pour s'y mêler afin de découvrir, fatalement, le reste du vaste monde.

    Des siècles s'écoulèrent, puis des millénaires, durant lesquels il passa la majorité de son temps dans la Bibliothèque même, s'employant à lire tout ce qui pouvait lui tomber sous la patte. Assoiffé de connaissances, ce ne fut qu'une fois le grand tour de l'île fait, ses coins et recoins scrupuleusement cartographiés, les nombreux éclats sombres de coquille d’œuf gigantesques scrupuleusement énumérés, mesurés, que le jeune dragon consentit à faire quelques timides excursions chez les Nordeyns et les Hauts Alfes. Ces sorties n'étaient jamais bien longues et Syll finissait toujours par revenir, soucieux et angoissé, et à chaque fois persuadé que la Bibliothèque devrait être plus grande qu'elle ne l'était actuellement. Intrigué par la colonne de lumière tombant sur tout Myrrh, il chercha des informations parmi les autres peuples qui baignaient eux aussi dans une aura de pureté similaire, sans toutefois trouver de réponses. Quel était cet oeuf ? D'où venait-il et où était la créature qui en était sortie ? Quelle était-elle ?! Pourquoi ses rêves semblaient-ils être des souvenirs plutôt que le fruit de son esprit au repos ? Viscéralement rattaché à l'île par ses nombreux secrets, de ces rêves dont certains même prémonitoires, par l'absence d'informations, de réponses dans la Bibliothèque, il aura fallu qu'un événement majeur se produise pour qu'il consente à quitter l'île plus de quelques années.

    Cet événement survint en l'An 6 100 AE lorsque la dracène ancestrale Shalassa ainsi que le dragon du vent Kaar arrachèrent les Eijis à la maltraitance des Alfes Noirs pour les mener en un lieu sûr. Attiré par cette exode spectaculaire, Syllxeraen se joignit à ses aînés et mit à contribution son savoir issu de la Bibliothèque pour aider à construire les bateaux-cités qui accueilleraient les humains, puis à installer ce peuple désorienté, craintif, sur les côtes d'un sublime Archipel. Fasciné par cette jeune race fragile et mortelle, le dragon stellaire vit là une occasion en or d'apprendre autant qu'il lui serait possible d'enseigner et se proposa tout naturellement pour servir la dracène, devenue Impératrice, afin d'éduquer ce peuple prometteur à s'épanouir dans le respect de la nature et, bien entendu, de l'Équilibre. Entre autre, il adapta avec eux l'agriculture de sorte à ne pas souiller la terre, créant les rizières en escaliers, sur flancs de montagnes, dépendantes des ruisseaux naturels et des moussons saisonnières. Il apprit aussi énormément d'eux, notamment l'art de jouer du guzheng, un instrument à corde des plus versatile et qui fascina le dragon au delà de toute raison.

    Un siècle plus tard, assuré de laisser les Eijis entre de bonnes mains en plus de leur avoir fourni une base solide pour leurs évolutions futures, il s'en alla présenter ses adieux à l'Impératrice. Il la remercia de lui avoir accordé la chance de vivre parmi ses précieux humains, d'avoir pu aider et en apprendre autant. Malheureusement, il ne pouvait s'attarder plus longtemps et retourna urgemment sur l'île de Myrrh après avoir appris que la jeune race des Vanes y avait accosté et que le Sanctuaire de Féroé venait à présent s'ériger tout autour de la Bibliothèque. Son île natale, si précieuse et qui conservait si jalousement les secrets de son existence venait d'être colonisée par des races mortelles et grouillantes. Seule la présence du Primordial de la Sagesse l'empêcha de raser les impudents de la surface de l'île, pris d'une rage aussi folle qu'inhabituelle. Profondément perturbé par cette réaction, ne se sachant pas si possessif et virulent, le dragon stellaire alla s'enfouir dans les entrailles de la Bibliothèque où il s'immergea une fois de plus dans ses nombreux ouvrages.

    En 6390 toutefois, un mal inconnu tomba sur l'archipel de Yanlei et ne sembla toucher que la race draconique. Lorsque l'Impératrice Shalassa elle-même tomba malade et trop entêtée, mais surtout trop amoureuse de ses humains, elle refusa de quitter les îles malgré la maladie qui rongeait son corps et finit par la faire tomber dans un profond sommeil. Désemparés, abandonnés par Kaar dès le début du grand mal, sans plus personne pour les guider, les Eijis se tournèrent vers une ancienne divinité de leur panthéon ; Syllxeraen, le sage Stellaire. Ils le prièrent de revenir pour les aider et le dragon répondit à leur appel malgré l'embarras et la honte qui l'habitaient toujours après sa terrible colère. Émergeant des entrailles de la Bibliothèque, il vola auprès de ses anciens protégés malgré les dangers encourus par la maladie. Face à la précarité des Eijis sur leurs bateaux-cités, le stellaire enjoignit le peuple à quitter les ponts pour s'établir durablement sur la terre ferme. Sans la bienveillance de Shalassa ainsi que ses immenses pouvoirs, Syllxeraen craignait que les humains ne finissent par dépérir. Jamais n'imagina-t-il qu'une telle décision créerait un mal plus grand encore que celui qu'il essayait d'éviter.

    La scission qui eut lieu entre les Eijis en 6490 AE fut attendue par le dragon stellaire, car l'absence d'un gouvernance absolue pour les réunir devenait le terreau parfait pour que les idéologies de chacun finissent par émerger, créant fatalement des bulles sociales qui à leur tour formeraient des villages et des villes séparées, voire des royaumes où chacun vivrait selon ses principes... mais ça, c'était sur le papier. La candeur de Syllxeraen fut incapable de le préparer à ce qui arriva et combien le peuple nourri et bercé par la dracène était devenu pourri gâté. Enfermé dans son petit cocon de confort, l'abandon de leur mère suprême causa un schisme bien plus profond et infecté que ne l'aurait jamais cru le stellaire. Voir ce peuple éduqué au spiritualisme et à l'Équilibre de toute chose tomber dans un acte aussi bas et chaotique que la guerre civile créa chez Syll un profond sentiment de malaise et d'incompréhension. L'apparition des Nordeys et de leurs Dieux, perçus comme un moyen d'apporter une nouvelle lumière et vision du monde aux habitants de Yanlei, se retourna bien vite contre le dragon qui perdit totalement le contrôle de la situation... s'il ne l'avait jamais eut.

    Resté en retrait en s’obstinant à n'être qu'un conseiller et un professeur comme il l'avait toujours été sous le règne de Shalassa, il refusa de prendre partie dans les escarmouches entre le nord et le sud. Considéré comme une divinité mineure, son inaction causa à son influence première de décliner à mesure que les guerres et les religions se multipliaient sur l'archipel. Son irritation, quant à elle, alla croissante et toucha son paroxysme lorsque les Sangs de Jade invoquèrent égoïstement un avatar de la dracène, lui refusant un repos nécessaire à son bon rétablissement. Une fois de plus, le dragon stellaire entra dans une rage folle et manqua d'abattre sur le peuple de l'archipel son immense courroux... uniquement pour l'abandonner avec amertume. Il jura que seule une âme pure pourrait le convaincre de revenir sur ce lieu de perdition et d'égocentrisme.

    Partant pour Varda dans l'espoir de trouver davantage d'altruisme chez les Alfes, il tomba de haut en découvrant que les races étaient encore en guerre. Dépité, il n'eut pas le cœur à les abandonner et resta malgré son aversion en veillant toutefois à ne jamais prendre une part active aux conflits qui avaient lieux sur la terre ferme. Il profita plutôt de cette période trouble pour faire du tourisme et s'aventura notamment dans la région mystique de Tir-Na-Beo, berceau des Vanes et des Alfes Verdant. Il fit une rencontre percutante avec les Marches de la Lune, manquant de s'écraser sur les dômes de verre qu'il n'avait pas vu à la lumière éblouissante du jour. Il rôda autour de la Citadelle de Mea sans toutefois oser s'aventurer seul à l'intérieur malgré sa curiosité dévorante. Il se baigna des jours, voire des mois entiers dans les pastelles intoxicantes des Montagnes de Quintarra, ramenant avec lui des brasses entières d'échantillons qu'il transforma ensuite en dés de pigments pour ses futurs ouvrages.

    Ce fut après un long papillonnage sur les régions sauvages de Varda, cartographiant et recueillant d'inestimables informations sur la faune et la flore, que Syllxeraen alla finalement chercher la quiétude et le silence de Tyr. Il lui avait fallu beaucoup d'effort et de vigilance au court de ses premiers millénaires d'existence pour pouvoir être accepté en un tel lieu. Une longue étude de l'étiquette, de la culture et les bases de la religion des Exaltés lui donnèrent un accès restreint à cette immaculée splendeur architecturale. Ce fut dans l'enceinte de Tyr qu'il pu d'ailleurs obtenir un enchantement dont il rêvait depuis de nombreux siècles et de cet enchantement, la création de son bien le plus précieux : La mémoire des Astres. Un livre à la couverture imbriqué d'une mosaïque d'or jaune, rouge et de turquoise avec un cœur serti d'une tanzanite ronde. Sous sa richesse, se cachait toutefois une merveille plus grande encore pour le dragon ; la possibilité d'avoir accès à tous les livres qu'il aurait pu lire et tout ça, sur simple activation de l'enchantement.

    Lisant ouvrages et textes sacrés alfes pour enrichir sa nouvelle acquisition, sa route croisa à nouveau celle des Eijis quand la ville d’Îadh fut construite en l'An 7360 AE. Malgré sa rancœur à l'égard du peuple de Shalassa, il ne pu qu'approuver l'idée d'un brassage culturel entre les humains de Yanlei et les races bénies de Varda. Convaincu de tout le positif qu'une telle rencontre apporterait aux humains, Syllxeraen se proposa comme diplomate entre les peuples et s'engagea dès lors dans une activité bien plus intrigante et spirituelle que la guerre : le commerce. Il passa ainsi plusieurs siècles à jouer les diplomates et les marchands, jonglant sur les deux tableaux avec une éloquence et un naturel confondant. Si mentir ne fut jamais son fort, il œuvra avec acharnement dans la transparence de sa véritable nature, appuyé par ses innombrables connaissances et ses nombreux autres atouts pour mener -dans la majorité des cas- ses rencontres et contrats à bien.

    Lorsque la conque de Kundala fut dérobée, puis corrompue, le dragon stellaire entra pour la troisième fois de sa vie dans une rage profonde. L'insolence des humains envers Shalassa et toute la bonté qu'elle leur avait jadis prodigué, mais plus encore les voir retourner sous les jupons de la race même dont ils furent sauvés à l'aube de leur existence... Syll manqua s'étouffer d'indignation avant de finalement se détourner d'eux avec une rancœur plus grande encore. Les Eijis étaient définitivement irrécupérables et il eut l'impression fugace que tous ses efforts, tous ses enseignements furent en vain, mais bien vite il mit de l'eau dans son vin en voyant combien le reste de la peuplade tentait de faire au mieux et s'indignait, tout comme lui, de ce sacrilège. Des siècles passèrent durant lesquels le dragon resta principalement en Varda et à Myrrh, jusqu'au jour fatidique où le Mont Oshu menaça de déverser sur Yanlei une éruption qui la détruirait en totalité. Incapable de rester sourd à cette menace malgré son profond ressentiment pour l'ethnie qui en peuplait les îles, il prit sa forme humaine et marcha parmi les Eijis comme Astrologue impérial. Ce fut lors de cette période, à l'aube du 8ème millénaire Après l'Effondrement, qu'il rencontra la douce et brave Yue Coeur-de-Pluie et décida de l'accompagner dans son long et tragique périple.

    La princesse impériale avait un coeur généreux et noble, un esprit vif et surtout une volonté de fer. Elle défia les coutumes de son peuple, son père et tout ce qu'elle connaissait dans l'unique objectif de sauver son peuple d'une fin atroce. S'offrant de l'accompagner, Syllxeraen se fit garde du corps, ami et confident durant les longs mois de trajets qui suivirent leur départ de Yanlei. Il l'épaula lors de l'ascension des montagnes de Caelum et sur le sommet il lui apprit à reconnaître et à lire les étoiles. Il lui conta milles histoires lors de l'interminable traversée pour rejoindre les Nordeys, la baignant d'anecdotes sur Shalassa et les prémices du peuple qu'elle tentait si désespérément de sauver. Malheureusement, aucune solution ne leur fut accordée malgré tous les efforts de Yue. Face à son désespoir, incapable de soutenir les larmes de celle qu'il avait appris à aimer, Syllxeraen rompit son vœux de silence et lui offrit une ultime solution. Un ultime sacrifice. Ce fut le cœur lourd qu'il guida la princesse jusqu'à la ville alfe de Kada, en Varda. Ce fut avec un déchirement sans nom qu'il l'observa, impuissant, consentir au terrible marché du Ssserthis.

    N'ayant ainsi plus de raisons de cacher sa véritable apparence, le dragon stellaire porta Yue sur son dos et vola haut dans les cieux, la laissant toucher les nuages des mains et voir les étoiles comme jamais auparavant. Il ne leur fallu pas longtemps pour retrouver Yanlei et Syll plongea vers le Mont Oshu sans attendre. Munie de l'artéfact, une perle nacrée de la taille d'une balle, la princesse demanda au dragon de se rapprocher le plus possible du cœur bouillonnant. Les lueurs d'aube gonflaient déjà dans la gueule du volcan, éclatant parfois de bulles étincelantes qui brûlèrent les plumes de Syllxeraen. Malgré l'éblouissement qui aveugla ses yeux et gorgea à tout jamais ses écailles de ce reflet moiré si caractéristique, il continua de plonger dans la lumière ignée pour permettre à la jeune fille d'atteindre, enfin, son objectif.

    Épuisé, blessé de cœur comme de corps après cette aventure, le dragon aux couleurs boréales accompagna toutefois Yue dans sa nouvelle quête : cacher l'artéfact. Ils mirent longtemps à trouver la cachette idéale et Syll verrouilla ce souvenir profondément dans sa mémoire, usant de magie mentale et d'illusion pour en protéger le verrou. La clé de ce sortilège fut confiée à Yue, car la puissance de la perle était bien trop grande pour que quiconque l'obtienne à nouveau. Confident, il l'escorta ensuite auprès des siens afin qu'elle puisse, finalement, profiter des derniers instants de son existence. A bout de force, le dragon stellaire plongea de son côté dans une profond sommeil et ne fut réveillé qu'au milieu d'une nuit d'encre, bien des années plus tard, par les douces mains de la princesse. "Montre moi encore les étoiles", lui demanda-t-elle avec un sourire et ce fut le cœur lourd d'une pluie de chagrin, que Syllxeraen porta celle qui était devenu de façon totalement unilatérale l'amour de sa vie et ce, loin au dessus des étoiles. Lorsqu'il redescendit, seul, ce fut uniquement pour retourner à Myrrh.

    Jamais le dragon boréal n'avait éprouvé un tel chagrin. Sans parents draconiques connus, il n'avait porté que le deuil de ceux qui l'avaient adopté bien des millénaires auparavant. S'il fut triste de leur départ, son insatiable curiosité et son esprit pratique avait bientôt relayé ce sentiment loin en dessous de choses bien plus urgentes. Étrangement toutefois, la disparition de Yue ne fut pas un événement qu'il parvint à reléguer au second plan et, fou de frustration, il se mit à chercher dans tout Myrrh un nouveau secret, une nouvelle énigme afin d'occuper son esprit. Il trouva son nouveau défis en heurtant par inadvertance un des éclats du gigantesque œuf qui formait les entrailles de l'île et convaincu par un orgueil biaisé qu'il lui serait enfin possible d'en percer le secret, de trouver ses origines ou une quelconque trace de la créature qu'il eut un jour abrité, Syllxeraen commis une des plus grandes erreurs de son existence : il creusa.

    Il creusa tant et si bien qu'il manqua de faire s'effondrer Myrrh toute entière. Un énorme séisme fut la seule réponse que le Stellaire obtint en s'obstinant aveuglément dans sa tâche insensé. Le tremblement de terre secoua la surface, troubla les cours d'eau, ébranla les dunes, fit s'écrouler une partie de la ville de Féroé et pire encore : il causa la quasi totale immersion de la Bibliothèque. Sa précieuse Bibliothèque ! Si elle fut préservée, si son contenu fut sauvegardé par une puissante magie d'altération... Syll se trouva extrêmement bête et surtout terriblement coupable alors que s'abattait sur lui l’ire justifiée du Primordial du Savoir. Non seulement n'avait-il aucune réponse à ses nombreuses questions, mais ils avaient manqué perdre le peu de connaissances sur le sujet qu'ils n'avaient jamais possédé. Désorienté, le dragon stellaire fut envoyé à Seren pour côtoyer enfin ses compagnons autrement que par le biais des autres races. Un semi-exile de Myrrh qui le vit partir la tête basse et le vol piteux au delà de l'Océan Ombreux.

    Pendant près de 300 ans -et après s'être fait escorté par l'Aspect Stellaire venu le chercher à la requête du Primordial du Savoir- Syllxeraen côtoya ses frères et sœurs à écailles dans l'isolement et la vie utopique de Seren. Il fit de nouvelles connaissances, tissa de nouvelles amitiés. Là, il découvrit notamment la véritable mesure de ses pouvoirs, découvrit de nouvelles connaissances sur le monde et ses secrets, de nouveaux enseignements philosophiques aussi. Notamment il apprit aux côtés de son Aspect l'importance de l'Équilibre et comprit combien il était nécessaire de se tenir à distance raisonnable des mortels tout en gardant un œil vigilant sur leurs affaires de sorte à ce que Teos ne sombre pas dans la guerre et la destruction... et visiblement, les dragons ne gardèrent pas une attention suffisamment aiguë sur les races mortelles vu la marée de morts-vivants qui déferla sur la pauvre ville d'Avalon en quelques années à peine.

    L'intervention de sa race dans cette guerre marqua un tournant majeur dans la vie de Syllxeraen. Devenu bras droit de l'Aspect Stellaire Se'narnril lors de son séjour à Seren, il participa activement aux côtés des vivants pour guider et organiser les troupes magiques, renforçant le siège contre Avalon et ses nécromanciens, puis en défendant Serrès contre ces mêmes vagues décomposées. Ayant appris les arts militaires à force de côtoyer les peuples Eijis et Alfes, puis par pur intérêt académique dans les diverses bibliothèques qu'il croisa au cour de ses voyages, il partagea avec altruisme toutes ses connaissances. Durant les huit longues années d'une guerre éprouvante s'en suivit, le dragon stellaire étendit son savoir à l'ingénierie, mais aussi au génie militaire, essayant désespérément de reproduire la magie des Exaltée avec leur Golems en faisant fonctionner magie et technologie dans une même création. Sans aucun succès à ce jour.

    Variant entre le haut commandement à l'arrière des armées afin de coordonner les troupes magique et le front de guerre de sorte à supporter les soldats de leur puissante magie, Se'narnril et Syllxeraen finirent par tomber dans un piège tissé avec milles précautions par une assemblée de nécromanciens. Ce fut à l'An 9998, par le sacrifice impie de Se'narnril que naquit le tout premier dragon zombi... et que signa l'intervention des Hauts Alfes ainsi que des Alfes Verdant. Toutefois, la fin de la guerre coûta énormément aux peuples vivants, mais surtout à Syll qui assista au meurtre infâme de l'aspect. Cloué au sol par des chaînes de contraintes, prévu comme prochain sacrifice pour les sombres intentions des nécromanciens, Syllxeraen assista en toute impuissance à la mise à mort de son mentor, ami, voire même figure paternelle. Un dragon qui s'était montré suffisamment patient pour le prendre sous son aile après le déboire de Myrrh. Un être d'un altruisme sans borne, pétillant d'une curiosité et d'une bonté infinie et ce malgré un age incalculable... Ce même dragon se vida de son sang sous les yeux écarquillés de son pupille.

    ... Et se releva en une créature morte, exsangue et surtout complétement folle de douleur. Pendant des jours entiers les deux stellaires avaient été torturés, drainés de leur énergie en prévision du rituel. De cette mort contre-nature et de cette réanimation pire encore naissait une créature d'une telle puissance qu'elle siphonna toute l'essence du sceau de réanimation que les nécromanciens avaient si précieusement gravés à même la roche. Une créature qui, affamée d'énergie thellurique, draina les mages jusqu'à ne laisser que des coquilles vides et sèches. Toujours piégé, Syllxeraen usa de ses dernières parcelles d'énergie pour rompre le scellé sur sa voix et appela son mentor avec toute la volonté et l'amour qu'il lui portait. Il l'appela encore et encore. Il tendit son esprit fiévreux vers celui nécrosé de l'aspect et ce, malgré ses griffes qui lui labouraient les écailles, cherchant à atteindre physiquement ses nœuds d'énergie vitale. Il l'appela à se rompre la voix, à se briser l'esprit, mais alors que sa conscience s'estompait, il sentit soudainement une parcelle de conscience briller dans la folie qui empoisonnait Se'narnril.

    "Protège les pour moi." Entendit une dernière fois le dragon boréal avant de perdre connaissance. Lorsqu'il se réveilla, ce fut entre les griffes bienveillantes d'autres dragons, emporté loin du champs de bataille alors qu'arrivaient sur la ligne d’horizon les silhouettes titanesques des golems. Le vent bruissait à ses oreilles, chatouillait ses écailles et ses ailes brisées, lui rappelant douloureusement combien il était en vie. Il essaya bien de parler, de poser des questions, mais sa voix refusa de sortir et pour la première fois de sa vie Syllxeraen ne fut pas certain de vouloir connaître la réponse à sa question. Fixant une dernière fois les rangs de morts-vivants être mis en déroute, il ferma les yeux et s'accorda un long et réparateur repos, cruellement conscient des lourdes tâches qui lui incombaient désormais. Se'narnril parti, il était désormais le plus vieux dragon stellaire et avec cette vérité ; il était désormais le nouveau Aspect de son peuple.

    Rester en place une fois remis de ses blessures fut hors de question et malgré le poids de ses nouvelles responsabilités, il fut plus fréquent de voir Syllxeraen hors de Seren et de Myrrh, qu'actuellement à l'occupation des gestions administratives de son peuple. Un peuple indépendant, éclaté sur tout Teos et qui, en soit, ne demandait pas grand chose, mais même cela le dragon boréal eut beaucoup de mal à mettre le pied à l'étrier. Ses conseillers eurent plusieurs fois des sueurs froides et furent forcés de le traquer pour le ramener de force afin qu'il se plie à l'exercice de ses nouvelles fonctions. Heureusement, dès qu'il était motivé à travailler, Syllxeraen se révéla un excellent Aspect, car ses connaissances étaient variées, sa patience immense et son écoute pour les requêtes de ses cadets toujours aigüe... mais encore fallait-il arriver à le motiver et même là, il fallait être certain que ce soit le vrai dragon en face de soit et pas l'une de ses -trop- nombreuses illusions.

    Un stratagème souvent utilisé lors des réunions tenues par les autres Aspects afin de discuter de Teos et de l'Équilibre des peuples, des séances à n'en plus finir et qui eurent le don de saper toute envie au dragon boréal d'y retourner une seule fois de plus... Il avait connu des assemblées de tréans plus rapides à se présenter que ses confrères à débattre de l'heure de la prochaine séance ! Incapable de rester supporter une telle agonie, persuadé que la connaissance est dans l'action et que Seren ne devrait être qu'un hâvre pour les jeunes dragons, les infirmes et les blessés, Syllxeraen refusa de rester en retrait alors que la guerre contre les nécromanciens fut la preuve même qu'une attention trop laxiste et superficielle avait été engagée sur les peuples mortels. "Que les autres Aspects prennent donc la poussière à Seren", avait-il argué avec un fin sourire, "je refuse de m'enterrer ici et de risquer un second Effondrement".

    Boudant ainsi l'île utopique et isolée des dragons, hanté par son dernier rêve qui dépeignait la destruction de Myrrh, Syllxeraen retrouva le confort de sa toute première demeure et poursuivit sa quête éternelle de connaissance, creusant autant le passé, que savourant le présent tout en préparant le futur.
    Capacités
  • Force : Initié
  • Agilité : Professionnel
  • Dextérité : Novice
  • Constitution : Initié
  • Symbiose : Professionnel
  • Sens : Initié
  • Volonté : Professionnel
  • Intelligence / Éducation : Expert
  • Compétences
  • Magie :
    * Voie de la Liberté
    - Branche Déplacement
    - Branche Transformisme
    - Branche Altération
    - Branche Protection

    * Voie Élémentaire

    - Branche Air

  • Dons spécifiques :
    * Voie de la Sagesse
    - Branche clairvoyance
    - Branche illusion
    - Branche rêverie
    - Branche contrôle
    - Branche mentale

  • Compétences développées :
    Compétences magiques :
    - Maniement de la magie (génie)
    - Résistance à la magie (novice)
    - Recherches magiques (expert)
    - Analyse et théories magiques (expert)

    Compétences scientifiques :
    - Lettres (Lire et Écrire) (expert)
    - Cartographie / Géographie (professionnel)
    - Étude des phénomènes naturels (expert)
    - Anatomie (amateur)
    - Ingénierie (initié)

    Compétences sociales :
    - Éloquence / Art Oratoire (professionnel)
    - Diplomatie (professionnel)
    - Étiquette Sanctuaire Vanes (expert) ; Théocratie Exaltée (professionnel) ; Royaumes Eijis (professionnel) ; toutes autre régions -sauf Empire Nocturne- (initié)
    - Mentir (novice)
    - Marchandage (amateur)
    - Expertise religieuse en Sail'Anh'Mora (expert) et Nordey (initié)
    - Langue commune (expert), Vane (expert) ; Nordyen / Vaïl (professionnel) ; Haut Alfe (professionnel) ; Eiji (professionnel) ; autres langues d'ethnies humaines (amateur) ; Orc et autres races (novice)
    - Histoire et Culture du Sanctuaire Vanes (expert) ; Royaumes Eijis (professionnel) ; Théocratie Exaltée (amateur) ; Autres Régions (novice)

    Compétences militaires :
    - Stratégie militaire (amateur)
    - Commandement (initié)
    - Génie militaire (novice)

    Compétences de survie :
    - Chasse / Pistage (amateur)
    - Déguisement (initié)
    - Connaissance de la nature (professionnel)
    - Connaissance des créatures magiques (expert)

    Crédit :
    - Dragons (expert)
    - Sanctuaire Vanes (expert)
    - Royaumes Eijis (professionnel)
    - Théocratie Exaltée (amateur)
    - Autres Régions (novice)

  • Relations
    Triniel Vit Creaturae : Fille de Lumiel, cette jeune Primordiale fut son élève après que sa mère la lui ait présenté voilà près de deux siècles plus tôt suite à son entrée dans l'Ordre de la Connaissance. Usant de cette excuse pour quitter Seren et revenir sur Myrrh, il éprouve pour la jeune créature une affection à part ainsi qu'une grande curiosité pour ses prochaines actions.

    Arkyn Sar'Edha : Brillant. L'exalté est la pureté incarnée, la beauté intemporelle cultivée par son peuple au travers de plusieurs siècles de sélection méticuleuse. Il aura toujours su titiller chez le dragon stellaire cette envie compulsive de le couver, de le préserver de la souillure extérieure et d'en faire la pièce maitresse de sa collection. Heureusement pour tout le monde, Syll' apprit très vite à refouler ses pulsions primales draconiques et à se tenir à distance raisonnable du Alfe. Toutefois, au court de ces dernières années, peut-être poussé par la solitude et autre chose de plus sombre et tourmenté, le dragon boréal se rapprocha d'Arkyn en l'amadouant de ses nombreuses connaissances sur ce mystérieux monde extérieur, loin en dessous des murs blancs de Tyr.

    Hahin Heyv : "La recherche de la vérité absolue". Un objectif creux, dénué de sens et de profondeur qui aura bien vite eut le don de hérisser les écailles de Syllxeraen, surtout venant d'un autre vénérable Aspect tel que lui. "Il n'y a qu'une vérité absolue, c'est qu'il n'y a pas de vérité absolue", aura-t-il cent fois répété au cour des discussions partagées avec Hahin, en raison de trouver toute logique dans sa quête. La relation entre les deux dragons est pour le moins étrange, parfois tendue, mais sans que jamais les mots ne dépassent la pensée ou n'en viennent aux mains. Comme deux opposés, ils n'ont de cesse de revenir fatalement l'un vers l'autre.
    Le joueur
  • Pseudo : ShinyOtter
  • Âge : 32 ans
  • Comment avez vous connu le forum ? Par le bouche à oreille
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  • Un commentaire ? Platypus.
  • SyllxeraenAspect Stellaire
    Syllxeraen

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    Messages : 24
    Date d'inscription : 11/10/2020

    Fiche de Syllxeraen  Empty Re: Fiche de Syllxeraen

    Dim 25 Oct - 15:08
    J'annonce officiellement avoir terminé ma fiche ! o/
    Triniel Vit CreaturaePrimodial de la Création
    Triniel Vit Creaturae

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    Messages : 67
    Date d'inscription : 03/07/2020
    Age : 28

    Fiche de Syllxeraen  Empty Re: Fiche de Syllxeraen

    Lun 26 Oct - 17:04
    On me chuchote dans l'oreillette que tu as effectuée les rapides corrections que nous t'avions demandé. En ce cas, j'ai le plaisir de valider ta fiche ! Félicitations ami draconique ! Very Happy

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