Arme ancienne, le glaive est une épée courte mesurant entre 60 et 90 centimètres de long pour 4 à 7 centimètres de large à double tranchant conçu pour être employé en duo avec un bouclier. Son emploi n’est pas particulièrement subtil, puisqu’il consiste à mettre des coups d’estocs destiné à infliger les blessures les plus profondes possible alors que la défense est assurée par le bouclier. C’est donc avant tout une arme de contre-attaque, efficace entre les mains de militaire discipliné en formation.

Utilisateurs : Nordeyns, Vails, Altrois

Lame massive, le Khépesh est une épée composée d’une partie droite mesurant 30 centimètres et d’une partie courbée mesurant 50 centimètres, conçue pour la tranche. Arme ancienne, elle est devenue davantage une arme de cérémonie, et de nombreux modèles ne sont désormais plus aiguisés, toutefois, elle trouve encore ses adeptes chez les Senaïs, mais également de façon plus sinistre aux seins des armées de morts-vivants.

Utilisateurs : Senaïs, Morts-Vivants, Vanes de Féroé

Modèle le plus générique d’épées, l’épée à une main est conçue pour permettre la taille comme l’estoc. La lame de 30 centimètres est dotée d’un côté faible, conçu pour la taille, et d’un côté fort dont la première tâche est de parer les coups des lames adverses. Facile à fabriquer, elle est présente dans la plupart des armées de Teos.

Utilisateurs : Nordeyns, Vails, Haut Alfes, Alfes Verdant, Alfes Sombres, Altrois, Vanes, Voltaïs

Epée de conception ancienne d’origine Eiji, le Ji’An est une épée longue se maniant à une main dont la lame ne mesure que quelques millimètres d’épaisseur, la rendant ainsi très légère. Cette légèreté la rend cependant très fragile et contraint l’utilisateur à faire preuve d’une grande agilité, dans un style de combat évoquant davantage une danse. Aujourd’hui, le Jian a cédé sa place au Katana et au Dao sur les champs de bataille, mais la noblesse continue à porter le Ji'An comme un symbole de statut social et de maîtrise de l’escrime.

Utilisateurs : Eijis

Lame très fine, mesurant entre 70 et 110 centimètres, les Rapières sont conçues comme des armes de duels. Si elles sont capables de trancher, elles restent avant tout des armes d’estoc, exigeant de fait une maîtrise parfaite de la part de leur utilisateur. La Rapière est une arme appréciée de la noblesse, qui a rapidement trouvé sa place au sein des cours Altréennes, avant de voyager à travers le monde.

Utilisateurs : Nordeyns, Vails, Haut Alfes, Alfes Verdant, Alfes Sombres, Altrois

La Broadsword est l’une des armes de prédilection des Orcs : mesurant entre 70 et 120 centimètres, cette lame reste relativement légère afin d'être maniée à une main, particulièrement pour un individu avec le physique massif d’un Orc. Disposant d’une meilleure portée, elle est plus dangereuse, mais aussi plus difficile à manier.

Utilisateurs : Nordeyns, Vails, Altrois, Orcs, Alfes Verdants

Les épées bâtarde sont des armes plus lourdes, conçues pour être capables d’endommager une armure de combat, dont la garde a été allongée afin de pouvoir être utilisée à deux mains. Ainsi, l’utilisateur peut la manier comme une épée conventionnelle ou s’en servir d’une façon relativement semblable à un marteau afin de pouvoir écraser le corps adverse sous le poids du choc provoqué par l’épée.

Utilisateurs : Nordeyns, Vails, Haut Alfes, Alfes Verdant, Alfes Sombres, Altrois, Orcs

Les Espadons sont des épées à deux mains très longues, dont la lame mesure entre 100 centimètres pour les modèles Alfiques et jusqu’à 200 centimètres pour les modèles Orcs, conçues pour lutter contre les armes d’hast ou la cavalerie. Elles sont généralement plus légères qu’on ne le pense, pesant entre 1 et 2 kilos, bien que les modèles les plus imposants peuvent atteindre 6 kilos, et sont étonnamment maniables pour leur taille. Toutefois, il ne s’agit pas d’armes de duels, elles sont conçues pour blesser, voire tuer, rapidement.

Utilisateurs : Nordeyns, Vails, Haut Alfes, Alfes Verdant, Alfes Sombres, Altrois, Orcs

Dans la société Eiji, les Wakizashis sont avant tout des armes de parades destinées à compléter la parure guerrière d’un combattant, mais certains maîtres escrimeurs l’emploient également comme une lame défensive, et contrairement au Katana, elle n’est pas réservée à la caste guerrière, ce qui signifie que les femmes et les civils peuvent s’en doter pour se défendre. Il s’agit en réalité d’un Katana miniature, la taille de la lame variant entre 30 et 60 centimètres sans jamais l’atteindre, conçue pour être maniée d’une seule main.

Utilisateurs : Eijis

Le Katana des Eijis est peut-être l’un des marqueurs culturels les plus fort de la nation insulaire. Ce sabre mesurant entre 60 et 90 centimètres pour la lame et 30 centimètres pour la garde est peut-être le plus dangereux existant dans le monde. Sa technique de forge ancestrale en fait une arme mortelle entre les mains d’un spécialiste de l’arme, mais qui est difficile à manier.

Utilisateurs : Eijis

Le Dao est un sabre d’une conception plus simple que le Katana. D’abord adopté par la cavalerie aquatique, le Dao a progressivement prit la place du Jian dans les armées Eijis pour sa robustesse et sa simplicité de fabrication. Il est également facile a manier et peut être porté avec un bouclier, ce qui en fait l’arme idéale de l’armée régulière.

Utilisateurs : Eijis

Le Cimeterre est sans doute le type de sabre le plus répandu sur Teos. Arme de prédilection des peuples nomades, le Cimeterre est un sabre lourd à lame courbe dont le tranchant est bien plus dangereux que celui des épées traditionnelles. Sa courbe particulière rend les mouvements de taille bien plus aisés que ceux d’une épée classique, ce qui en fait une arme idéale sur une monture. Naturellement, les Voltaïs en ont fait une de leurs armes de prédilection.

Utilisateurs : Voltaïs, Senaïs, Alves Sombres, Hauts Alfes, Vanes

Cet étrange sabre droit est de conception Altroise. Mesurant entre 40 et 60 centimètres, il est parfois légèrement recourbé, et peut même disposer d’un contre-tranchant ou afficher une forme en “dents de scie”. Le Fauchon n’est toutefois pas une arme de cavalerie chez les Altrois : ces derniers l’utilisent pour leurs fantassins d’élite recherchant une arme plus tranchante que les épées traditionnelles

Utilisateurs : Altrois

Le Sabre d’abordage est un sabre court à l’usage de la marine, conçu pour remplir aussi bien un rôle offensif qu’un rôle d’outil, comme couper une corde par exemple. Facile d’utilisation comme d’entretien, c’est une arme plus robuste qu’elle n’en a l’air, complétant parfaitement l’arsenal d’un marin avec un pistolet et une salve d’insultes bien senties. Il s'agit de l’arme blanche de prédilection des pirates.

Utilisateurs : Altrois, Pirates, Alfes Sombres

Fabriqué par les mêmes maîtres forgerons que les Katanas, les No Da Chi sont l’équivalent pour le Katana de ce qu’est l’Espadon pour l’épée : doté d’une lame surpassant les 120 centimètres, il a été conçu pour offrir une très grande portée à son porteur, lui permettant ainsi de pouvoir frapper plus efficacement les cavaliers. Toutefois, son coût de fabrication comme son poids en font une arme plus efficace pour écraser un adversaire que pour trancher les chairs. C’est avant tout une lame d'apparat et d'entraînement afin de fortifier le corps qu’une véritable arme de combat.

Utilisateurs : Eijis

A l’instar du No Da Chi, le Chang Dao est un sabre lourd que l’on ne retrouve qu’en YanLei. Mesurant 195 centimètres, dont le tier pour la garde, il rempli une fonction relativement identique à son grand frère, mais sa fabrication est simplifiée. Le Chang Dao est souvent l’arme des corps d’armées d’élite, chargés des missions les plus complexes. Comme le No Da Chi, il est également utilisé à l'entraînement afin de fortifier le corps et perfectionner les techniques de l’escrime.

Utilisateurs : Eijis

La Lance est l’une des plus anciennes armes existantes. De fabrication simple, elle est généralement composée d’un manche en bois long sur lequel on fixe une lame affûtée à l’extrémité. Elle est conçue aussi bien pour la tranche que l’estoc. Les Angyals ont rapidement tirés le meilleur parti de la lance en effectuant de puissantes charges en piquets, tandis que les Alfes se l'ont rendue efficace en régiments. Aujourd’hui encore, la Lance est présente dans toutes les armées de Teos pour sa simplicité et son efficacité.

Utilisateurs : Tous

Evolution de la lance, la Hallebarde est une arme dotée d’un manche mesurant entre 170 et 200 centimètre et d’une longue pointe en fer pour l’estoc, ainsi que d’une lame en forme de hache pour la tranche d’un côté et d’un bec de corbin de l’autre afin de faire chuter les cavaliers de leurs montures. Les Hallebardes sont plus lourdes que les lances et doivent être maniées en conservant parfaitement ses appuits. Les Alfes ont perfectionnés l’emploi de la Hallebarde à un niveau jamais égalé, mais les Altrois et les Eijis ne sont pas en reste et forme des groupes très compétents de Hallebardiers.

Utilisateurs : Haut Alfes, Alfes Sombre, Alfes Verdant, Altrois, Eijis

La Pique est une version prolongée d’une lance classique : mesurant jusqu’à 600 centimètres, elle permet d’adopter des formations capable de briser la charge d’une cavalerie lourde. Simple à fabriquer, elle nécessite tout de même une formation particulière car son ampleur rend son utilisation plus complexe. Elle est également utilisée de façon plus sinistre : l’on peut placer la tête tranchée d’un ennemi vaincu sur une Pique afin de la mettre bien en évidence et semer la terreur, une technique très employée par les Alfes Sombres et les Nécromanciens.

Utilisateurs : Tous

Parfois également nommé “Faux de Guerre”, le Fauchard consiste à placer la lame d’une faux agricole à l’extrémité d’une lance. Certaines versions sont conçues pour un usage militaire et dispose d’une lame renforcée, car la lame d’une faux agricole est trop fragile pour faire face à une armure lourde, mais dans les deux cas, le Fauchard est une arme plus efficace pour affronter les cibles peu protégées, sa puissance étant trop faible pour blesser un homme en armure de plates complètes. Cette arme modeste est généralement utilisée par les paysans.

Utilisateurs : Altrois, Eijis

Le Naginata est une forme de lance caractéristique de l’armement des Eijis : sa taille est variable, mais les modèles les plus long peuvent atteindre deux mètres, tandis que la lame est forgée de la même façon que celle des sabres, présentant la même courbure, Très pratique contre la cavalerie, le Naginata peut toutefois être employé en duel en respectant un art martial codifié. Considérée comme une activité physique saine, les autorités Eijis encouragent la pratique du Naginata, ce qui en a fait l’arme féminine par excellence, cette dernière n’étant frappée d’aucun interdit. Toutefois, nombre de fantassins s’en servent également sur le champ de bataille.

Utilisateurs : Eijis

Le Nagamaki est une arme étrange, à mi-chemin entre une lance et une épée longue : en effet, le manche et la lame font une longueur égale, entre 70 et 120 centimètres. Si le Naginata est souvent préféré pour une fabrication et une utilisation plus simple, le Nagamaki a la réputation d’être une arme plus noble et trouve ses adeptes dans la caste guerrière Eiji.

Utilisateurs : Eijis

Le Marteau de Guerre est né en réponse à l’augmentation de la résistance des armures et aux nouveaux défis qu’elles imposent : en effet, il devenait de plus en plus difficile d’en venir à bout à l’épée. Puisqu’il n’était plus possible de la percer, autant écraser les membres et les os qu’elle protège en frappant le plus fort possible. Outre la longueur de son manche, l’on distingue les Marteaux de Guerre des marteaux traditionnels par l’apparition d’un bec de corbin à l’opposé du marteau permettant de désarçonner les cavaliers.

Utilisateurs : Orcs, Altrois

Le Morgenstern est une masse d’armes conçu par les Alfes Sombres qui a été reprise par les Altrois les Orcs et les Vails. Elle se compose d’un manche plus court que celui d’un marteau de guerre, se terminant par une masse hérissé de piques. Cette arme redoutable peut donc servir aussi bien comme arme contondante que réaliser des coups vicieux, comme crever les yeux de son adversaire, ce qui en fait également une arme de torture efficace entre les mains d’un utilisateur assez cruel.

Utilisateurs : Orcs, Vails, Alfes Sombres, Altrois

Le Fléau d’armes est l’une des armes les plus redoutables que l’on peut croiser sur un champ de bataille. Il s’agit pourtant d’un dérivé d’un instrument d’agriculture, un simple manche en bois court sur lequel l’on a accroché à l’extrémité une chaîne qui transporte elle-même une boule hérissé de pique. Une version plus lourde, le Goupillon, présente trois chaînes au lieu d’une seule. C’est une arme plus subtile qu’elle en a l’air, demandant une maniement précis, mais permettant de désarmer une cible ou contourner un bouclier pour frapper les points faibles d’une armure.

Utilisateurs : Orcs, Vails, Alfes Sombres, Altrois

Pour les Eiji, les masses et fléaux d’armes sont des armes bien trop brutale, manquant de finesse, d’élégance et de maîtrise pour être considérée. Toutefois, la nécessité de disposer d’arme contondante restait présente, et la solution est, ironiquement, venue de la paysannerie : le Nunchaku est un fléau a deux branches nécessitant une grande maîtrise afin d’infliger de lourd dégâts, et une certaine souplesse pour être manié à la bataille. On lui préfère d’ailleurs généralement le Sansetsukon, disposant de trois bâtons au lieu de deux, afin de gagner de la portée de la protection. Ses utilisateurs sont toutefois de redoutables combattant qu’il convient de ne pas sous estimer.

Utilisateurs : Eijis

L’Arc est probablement l’arme à distance la plus ancienne encore employée sur les champs de batailles de Teos et se retrouve parmis la plupart des peuples combattants. Sa simplicité de fabrication et d’emploi en font une arme efficace et bon marché, aussi utile à la guerre qu’à la chasse, très prisé des seigneurs comme des combattants.

Utilisateurs : Tous

Développé par les Hauts Alfes, l’Arc Long est une arme élégante d’une fabrication aussi simple que redoutable. Composé d’un seul morceau de bois, ses propriétés sont pensée pour imiter les propriétés des arcs composites. Mais ce qui caractérise réellement l’arc long, c’est sa taille : mesurant 2 mètres pour les plus long, il est généralement plus grand que son utilisateur. Le grand avantage des arcs longs provient avant tout de sa portée, jusqu’à 300 mètres, ainsi que de sa cadence de tir, largement supérieure à celle d’une arbalète ou d’une arquebuse, mais nécessitant l’emploi de chariot transportant les flèches plutôt que des traditionnels carquois afin de maintenir une cadence de tir soutenu durant les combats. Toutefois, un arc long ne viendra pas a bout d’une armure complète au-dessus de la distance de 60 mètres.

Utilisateurs : Nordeyns, Haut Alfes, Alfes Verdants

L’Arc Composite doit son nom à la diversité des matériaux utilisé afin d’assurer sa fabrication. Ils sont choisis avec soin afin de pouvoir maximiser l’efficacité de chaque partie de l’arc, ce qui lui permet d’atteindre les performances de l’arc long avec des arcs bien plus court, et même les surclasser en portée, les meilleurs Arc composite pouvant atteindre une portée se rapprochant des 550 mètres. Il a été conçu par les Voltaïs, qui se sont taillée une solide réputation, notamment en parvenant, avec leurs formations de cavaliers équipée d’arc composite, de prendre de vitesse et surclasser des formations Altrois d’arquebusiers et de canons. Les Senäis et les Eijis font également usage de l’Arc Composite suite à leurs accrochages avec les Voltaïs, toutefois, l’Arc Composite est surtout efficace dans le combat monté.

Utilisateurs : Voltaïs, Senais, Eijis

Le Yumi est un arc composite de fabrication Eijis très particulier, puisque sa taille est encore plus imposante que celle des Arcs Longs, atteignant pour les plus imposant 2 mètres 45, et qu’il est asymétrique. Il s’agit aussi bien d’une arme que d’un objet de culte religieux, pouvant être utilisé à cheval ou à pied. Bien que les Eijis font également usage des arquebuses, ils tiennent en bien plus haute estime le Yumi, qui est considéré comme une arme noble digne d’être portée.

Utilisateurs : Eijis

L’Arbalète, dans son principe, est une arme simple : il s’agit d’un arc dont la tension de la corde n’est plus assurée par le tireur lui-même, mais par une pièce mécanique que l’on nomme généralement arbrier. Il s’agit avant tout d’une arme de précision : puisque le tireur est libéré du maintien de la tension, il peut viser les cibles en prenant son temps, toutefois, l’arbalète présente le désavantage de disposer d’une cadence de tir bien plus faible que l’arc. La raison de sa cadence de tir plus faible provient de la nécessité de recharger l’arbalète à chaque tir, cette dernière ne pouvant contenir qu’un seul carreau à la fois. L’Arbalète est une invention Alfes Sombre qui a été reprise par plusieurs peuplades humaines, mais dont l’usage entre désormais en concurrence avec l’arme à feu.

Utilisateurs : Alfes Sombres, Altrois, Eijis

L’Arbalète à répétition est une arme dérivée de l’arbalète sacrifiant de la puissance de feu afin de pouvoir disposer d’un chargeur d’une dizaine de carreau. Il est nécessaire d’activer un levier entre chaque tir pour armer un nouveau carreau, et l’arme est une mécanique fragile nécessitant un entretien régulier. Comme l’Arbalète, l’Arbalète à répétition est une arme Alfes Sombre, qui, plus légère, peut également être utilisée à la manière d’un pistolet sur une monture de combat et présente l’avantage de disposer d’une cadence de  tir supérieure à celle d’un arc.

Utilisateurs : Alfes Sombres

Le Chu Ko Nu est une variante d’arbalète à répétition répandu au sein des troupes Eijis. Si elle est assez semblable à celle des Alfes Sombres, le Chu Ko Nu se distingue toutefois par une caractéristique vicieuse : ses flèches sont empoisonné, car les capacités de pénétration des flèches sont plus faible, ce qui permet de neutraliser, voire tuer la malheureuse cible du tireur sans avoir besoin de lui infliger de graves blessures.

Utilisateurs : Eijis.

La Couleuvrine, parfois nommée simplement “canon à main” est l’arme à feu la plus ancienne parcourant les champs de bataille de Teos. C’est une arme de conception simple, conçu pour produire l’effet d’un grenaillage : le canon en fer est chargé avec des billes de plombs et de la poudre. Pour provoquer la détonation, il suffit d’allumer la mèche contenu dans une petite fente que l’on surnomme la “lumière”. La Couleuvrine dispose d’une faible portée, mais elle inflige des blessures impressionnante et fait son effet sur les champs de bataille, semant la panique dans les rangs ennemis. Les Voltaïs sont les premiers à l’avoir adoptée, et elle a depuis fait son chemin dans toutes les ethnies humaines.

Utilisateurs : Voltaïs, Senais, Altrois, Eijis

Ozutsu est une variante Eiji de la Couleuvrine qui se caractérise par son projectile : plutôt que de tirer un boulet de canon, l’arme est chargée avec une roquette en bois doté de propriété incendiaire : elle s’enflamme à l’impact, provoquant des incendies et la panique dans les rangs adverse. Elle ne peut donc certes pas s’attaquer à une armure lourde, mais l’on peut lui faire prendre pour cible des bâtiments en bois pour une efficacité redoutable

Utilisateurs : Eijis

L’Arquebuse est actuellement l’arme à feu la plus répandue sur Teos : il s’agit d’un lourd fusil disposant de deux types de mécaniques. Si le canon est rayée, pour offrir une plus grande précision au projectile, l’arquebuse manque toutefois de portée et ne peut tirer qu’un seul coup par minute, qu’importe son mécanisme de tir. Les Arquebuses à mèches, les plus anciennes, sont doté d’un poids plus lourd et nécessite d’être posé sur un pied, là ou les Arquebuses à rouets peuvent être épaulée et son plus légère, ce qui permet la fabrication de modèle pour cavalerie, voire de petit pistolet très apprécié par les pirates.

Utilisateurs : Voltaïs, Senais, Altrois, Eijis

A l’inverse de l’Arquebuse, le Mousquet est un fusil à âme lisse (soit sans rayure dans le canon) mesurant entre 90 et 120 centimètres et tirant des projectile de calibre variant entre 18 et 20 millimètres. Elle utilise toujours un mécanisme à mèche, mais c’est une arme plus légère et plus confortable que l’Arquebuse, pouvant également être fabriquée sur le modèle d’un pistolet ou raccourcit pour la cavalerie qui représente donc une évolution considérable, d’autant plus que la vitesse du projectile, bien plus rapide, lui permet de percer les armures les plus lourdes. Le Mousquet est une invention récente s’étant développé d’abord chez les Eijis, mais les Altrois l’ont rapidement adapté à leurs propres besoin. Selon certains théoricien militaire, il pourrait totalement changer la doctrine de combat des armées, mais son lourd coût de fabrication en fait une arme fabriquée à petite série, uniquement pour la noblesse.

Utilisateurs : Eijis, Altrois.

La Catapulte est sans aucun doute l’engin de siège le plus ancien et le plus simple existant sur Teos. Il s’agit d’une sorte d’arc géant lançant des projectiles dans une trajectoire en forme de cloche. Si le projectile le plus répandu reste une pierre taillé pour cet exercice, certaines utilisations plus cruelle en cas de siège repose sur le jet de cadavre ou d’objet infecté par une maladie afin de répandre cette dernière sur les défenseurs en cas de siège. Il est difficile de connaître l’inventeur de la Catapulte aujourd’hui. Les Alfes Sombres semblent toutefois les meilleurs candidats, même si les Hauts Alfes pourraient être les premiers utilisateurs.

Utilisateurs : Alfes Sombre, Haut Alfes, Orcs, Vails, Altrois, Eijis
Rareté : Commune

Plus élégante que la Catapulte, la Baliste repose pourtant sur un principe sensiblement identique, faisant usage de la force d’une corde tendue par un mécanisme de ressort a torsion pour lancer des flèches géantes, que l’on nomme généralement “trait de baliste”. Il s’agit de l’arme de siège favorite des Elfes, qui en font grandement usage, mais elle fut également adoptée par les Nordeyns, les Vails et quelques ethnies humaines. Si elle semble simple, elle est en réalité redoutable : un trait de baliste peut faucher un chevalier en armure, infliger de lourds dégâts à un navire de guerre en bois, ou représenter une sérieuse menace pour les ailes d’un Dragon. Parfois, les Balistes sont assemblée sur la structure d’un char afin de lui offrir davantage de mobilité.

Utilisateurs : Alfes, Angyals, Altrois, Eijis, Voltaïs, Vanes
Rareté : Commune

Le Trébuchet est une arme de siège de contre-poid d’origine humaine, développé en parallèle chez les Altrois et les Eijis. Il consiste à projeter un lourd projectile, généralement un boulet fabriqué pour les besoins de l’arme, sur une longue distance, surclassant celle des archers. C’est toutefois une arme lente, ne tirant que deux projectiles par heure, nécessitant de nombreux servants (environs 60 pour une utilisation optimale) et surtout efficace pour fracasser les murailles d’un château, ou, a l’instar des catapultes, projeter des cadavres ou des objets infecté par des maladies dans l’enceinte d’une forteresse ennemie, l’arme étant trop lente et trop imprécise pour être employée contre des monstres.

Utilisateurs : Altrois, Eijis, Orcs, Voltaïs
Rareté : Commune

Bien qu’elle soit fabriquée sur des principes sensiblement identiques à ceux de sa version canon à main, la Couleuvrine d’artillerie ne tire pas la même nature de projectile : elle est en effet chargée de boulets de trois calibres différent selon sa taille : les Couleuvrines moyennes tirent des projectiles de 80 millimètres, les bâtardes de 100 millimètres et enfin les Grandes de 130 millimètres. La Couleuvrine a fait ses preuves, pouvant fracasser les murailles les plus épaisses des fortifications, mais elle est également très employées par les flottes humaines sur mer, où elle excelle dans les combats de vaisseaux contre vaisseaux

Utilisateurs : Voltaïs, Altrois, Eijis
Rareté : Modérée

Le Feu Grégeois est une arme terrible de fabrication Altroise destinée à l’embrasement : sa formule chimique est l’un des plus grands secret de Teos, et si les Eijis et les Voltaïs disposent de leur propre variante, il reste qu’elle utilise une formule différente. Il s’agit de créer un mélange qui prendra feu soit à l’impact, soit à l’ouverture d’un syphon lui donnant l’apparence d’un lance flamme. Le feu Grégeois est également utilisé dans des boulets de canons, des petites grenades ou encore les roquettes incendiaires Eijis. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, il s’agit avant tout d’une arme maritime : la version syphon est montée sur les navires de guerre, et sa portée limité la rend surtout efficace dans la défense de détroit étroit, lorsque la météo est calme.

Utilisateurs : Altrois, Eijis, Voltaïs
Rareté : Rare

Le Hwacha est une pièce d’artillerie Eijis récente aux propriétées dévastatrices. Si elle ne semble pas payer de mine de prime abord, ses projectiles sont des fusées en bois doté d’un mélange explosif qui provoque à l’impact la projection de milliers d’éclats dans toutes les directions. Contre une colonne d’infanterie progressant en formation serrée, y compris si elle est dotée d’armure lourde, le Hwacha est une arme redoutable, qui a fait ses preuves contre les légions de squelettes et zombies des Nécromanciens en faisant pleuvoir une pluie de projectile, un seul opérateurs pouvant lancer grâce à lui une centaine de roquettes.

Utilisateurs : Eijis
Rareté : Rare

Le Canon a Orgue consiste en l’assemblage de Couleuvrine moyennes en batterie, allant de neuf à douze canons, conçu dans des optiques différentes. En effet, certains canons a Orgue sont assemblés de façon à pouvoir couvrir une large surface, employé pour lutter contre l’Infanterie de façon plus mortelle qu’une Couleuvrine ordinaire, alors que d’autre au contraire sont assemblés de tel sorte à concentrer le feu sur un point précis, ce qui fait du Canon a Orgue une arme terrible contre les formations de chevaliers en armure, mais également les monstres les plus résistants. Si sa portée reste limite, un équipage de servant disposant d’assez de sang froid et de confiance en sa pièce d’artillerie peut faire face à un Dragon et orienter la pièce d’artillerie suffisamment pour obtenir de bonne chance de l’atteindre et lui infliger de graves blessures.

Utilisateurs : Altrois
Rareté : Très rare